LE HOBBIT : La note Cine-AL
L'excellent Peter JACKSON qui revient 9 ans après "le retour du roi" pour mettre en scène comme personnage principal "Bilbon SACQUET" qui n'est autre que l'oncle du célèbre heros de Tolkien "Freudon le Hobbit".
SCENARIO
Avant d'entrer dans la salle, j'avoue que j'étais inquiet de savoir si cette réalisation serait tout autant époustouflante que l’a été la trilogie de Tolkien. Chose étonnante et inhabituelle, pendant les bandes annonces, aucun bruit dans la salle, tout le monde est déjà attentif et impatient de retrouver la "terre du milieu".
Dès les premières minutes, on retrouve complètement l'atmosphère celtique, tant au niveau des paysages que de la bande son.
Peter JACKSON prend un soin tout particulier à introduire les personnages et décrit méticuleusement le contexte dans lequel ce déroule notre histoire.
Subtilité du réalisateur ou pur hasard, ce choix permet néanmoins aux spectateurs novices de rattraper leur retard et donc d'apprécier plus intensément l'aventure. Par contre, les fans de la première heure pour qui l'univers de Tolkien n'a plus de secret, pourrait trouver ce temps un peu long.
MISE EN SCENE
Une fois l'aventure commencée, on peut remarquer rapidement que la mise en scène nous donne une vision globale et n'est pas centrée uniquement sur "Bilbon SACQUET".
Au fil des minutes, le spectateur s'attache inconsciemment à plusieurs personnages, l'adrénaline monte alors à chacune des scènes et pas seulement celles du héros.
EFFETS SPECIAUX
Le visionnage en 3D permet d’apprecier encore mieux l’intensité des scènes, qui sont appuyées évidemment par des effets spéciaux stupéfiants de réalisme.
Tellement réalistes que le public a l'impression de pouvoir toucher du doigt un gobelin ou de se faire écraser par un troll.
Chapeau bas à un Goloum plus flippant et psychopathe que jamais, le sens du detail dans les images de synthèse y joue beaucoup.
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Forum: LE HOBBIT un voyage inattendu
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